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Le programme de mentorat des entraîneures Femmes en boccia est lancé au centre national d’entraînement de boccia

National Boccia Team players with coaches and staff |

La mentore Monique Camirand et ses mentorées Tiffany Gaudette et Adriana Guzman (de droite à gauche) ont passé du temps à l’INS Québec avec certains membres de l’équipe de haute performance de Boccia Canada.

Ottawa, Ont. (9 mars 2023) – Boccia Canada et l’Association canadienne des entraîneurs (ACE) se sont associés pour mettre à l’essai le programme de mentorat des entraîneures Femmes en boccia. Le programme est basé sur le modèle de mentorat des entraîneures de l’ACE.  Dans le cadre de ce programme, quatre femmes recevront le soutien d’une entraîneure mentore, seront exposées à l’environnement du centre d’entraînement national de boccia et auront l’occasion de progresser dans leur formation et leur certification dans le cadre du Programme national de certification des entraîneurs. Les mentorées recevront les modules de formation des mentorées de l’Association canadienne des entraîneurs et auront des contacts réguliers avec leurs mentores. Adriana Guzman (Edmonton, Alb.), Colleen Moyer (Winnipeg, Man.), Lauren Swan (Victoria, C.-B.), and Tiffany Gaudette (Toronto, Ont.) sont encadrées par l’ancienne entraîneure de l’équipe nationale de boccia Monique Camirand (Gatineau, Qc) et par l’entraîneure de paranatation Vicki Keith (Amherst Island, Ont.). Les mentorées ont récemment visité le centre national d’entraînement de boccia à l’Institut national du sport du Québec (INS Québec), où elles ont observé et assisté aux entraînements de l’équipe nationale, en plus de participer à des tables rondes avec les entraîneurs de l’équipe nationale et le personnel de l’équipe de soutien intégré.    Pour Guzman, c’est l’occasion d’élargir et d’approfondir son réseau d’entraîneures. « En pratiquant ce sport depuis cinq ans, j’ai appris à connaître et à travailler avec de nombreuses femmes et je saisis toujours l’occasion d’en apprendre davantage d’elles. Le sport évoluant très rapidement dans chaque province, il est toujours intéressant de connaître les défis qu’elles doivent relever. Nous voulons toutes que le sport réussisse non seulement au niveau provincial, mais aussi au niveau national, et c’est pourquoi nous nous entraidons toujours. La communauté du boccia est petite, mais puissante. Nous sautons sur l’occasion d’apprendre les unes des autres. » Gaudette est entraîneure depuis six ans et le fait d’être membre du programme de mentorat des entraîneures Femmes en boccia est une autre étape importante de sa carrière : « Il est très important de mettre en valeur les femmes qui pratiquent le boccia ou tout autre sport. Cela peut encourager d’autres femmes à s’impliquer et faire en sorte que davantage de filles et de femmes participent à ce sport en tant qu’athlètes et entraîneures. Je pense que je serais plus ouverte à l’idée d’être encadrée par une autre femme et que je serais mieux comprise. Cela m’aidera à apprendre à naviguer entre différents styles d’entraînement tout en construisant ma boîte à outils d’entraîneure, ce qui est un atout inestimable pour moi et mes athlètes. » Le programme s’aligne sur les objectifs du plan stratégique 2022-25 de Boccia Canada visant à soutenir le développement d’entraîneur(e)s certifié(e)s et à offrir plus de possibilités aux entraîneures. Les critères de sélection des mentorées comprenaient l’achèvement des cours du PNCE Apprendre à être entraîneur(e) de boccia ou du PNCE Introduction à la compétition de boccia, ainsi que la représentation géographique.   « Nous sommes ravis d’avoir établi un partenariat fructueux avec Boccia Canada/l’ACSPC pour la mise en œuvre de ce nouveau programme. Il est très important de développer un réseau d’entraîneures pour renforcer les capacités dans le sport, recevoir du soutien par le biais du mentorat et acquérir des expériences pratiques et significatives au centre national d’entraînement. Boccia Canada était tout à fait indiqué pour ce programme pilote, car la subvention de l’EDI aux ONS qui avait d’abord été demandée par l’organisation s’est transformée en une initiative de plus grande envergure grâce à un financement supplémentaire. Collectivement, nous espérons continuer à tirer des leçons de cette initiative et à prendre de l’élan pour offrir davantage de possibilités aux femmes dans le domaine du boccia. L’approche adoptée par Boccia Canada mènera à la longévité et à la durabilité de l’entraînement au Canada », a déclaré Isabelle Cayer, directrice de la sécurité dans le sport à l’Association canadienne des entraîneurs. La mentore Monique Camirand se réjouit d’être un modèle pour ces entraîneures en devenir.   « J’espère partager mon expérience en tant qu’ancienne entraîneure au niveau communautaire, provincial et national. J’ai eu l’occasion d’assister à l’évolution de ce sport au fil des ans et je suis très heureuse de voir que davantage de provinces (et de femmes) s’impliquent. Mon expérience en tant qu’ancienne entraîneure nationale et provinciale devrait inspirer les entraîneures du pays et leur montrer qu’il est possible, en tant que femme, d’entraîner au plus haut niveau. » Pour en savoir plus sur le modèle de mentorat des entraîneures de l’Association canadienne des entraîneurs, cliquez ici.


À propos de Boccia Canada

Boccia Canada est le « maître d’œuvre » de l’Association canadienne de sports pour paralytiques cérébraux (ACSPC), l’organisme national de sport qui régit le boccia, un sport paralympique. Boccia Canada s’efforce d’offrir aux athlètes et aux individus, quels que soient leur âge et leur niveau d’aptitude, la chance de pratiquer un sport paralympique unique. Nous menons, développons et bâtissons le boccia de la base jusqu’à la formation de champions du monde, et nous collaborons avec des partenaires pour accroître la participation des Canadiens ayant des handicaps physiques dans le sport.


À propos du boccia

Le boccia est un sport paralympique de précision et de stratégie similaire au boulingrin ou au curling qui est pratiqué par des athlètes ayant une paralysie cérébrale, une dystrophie musculaire ou une déficience connexe. Il s’agit de l’un des deux seuls sports paralympiques n’ayant pas d’équivalent olympique. Les athlètes concourent dans l’une des quatre catégories existantes, en fonction de leur niveau et de leur déficience : BC1, BC2, BC3, BC4, BC5, et ouverte.


Personnes-ressources pour les médias

Holly Janna
Responsable des communications et coordinatrice de l’équipe nationale, Boccia Canada
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